Emménager dans son propre appartement, prendre son indépendance, c’est L’Aventura, la liberté !
Mais il ne faut pas négliger certains petits détails, notamment dans l’agencement de votre cuisine, au risque de vous retrouver à manger au restaurant ou à vous faire livrer des pizzas pendant les prochains mois.
Tour d’horizon des outils de cuisine indispensables…
A chaque couteau son usage : pour les oignons et les fines herbes, pour les légumes, pour les viandes, les volailles, les poissons… Et si un ou deux suffiront au départ, vous en aurez très vite besoin de plus.
L’idéal serait même, un couteau de chef japonais. Sans oubliez le fusil pour les aiguiser.
Que ce soit pour une sauce, des légumes, des champignons ou du thon, vous aurez forcément un jour la flemme de vous atteler à la cuisine. Alors, en quelques secondes vous ouvrirez une boîte, dont, morte de faim, vous vous régalerez !
Bien sûr, vous pouvez toujours émincer vos légumes dans une assiette déjà maintes fois ébréchée, en croisant très fort les doigts pour qu’elle n’éclate pas en mille morceaux.
Vous pouvez aussi opter pour une planche à découper.
Notre suggestion de matière : le bambou, qui marque moins.
Pas indispensable, dites-vous ? Faîtes l’expérience, et vous vous rendrez vite compte du temps que vous fait gagner ce petit outil, comparé à un couteau traditionnel. Celui que nous avons sélectionné a non seulement une forme originale, pour une meilleure prise en mains, mais a aussi l’avantage d’être bleu ciel… vous ne risquerez plus de l’égarer parmi vos épluchures.
Voilà qui va bien vous aider à composer, aménager, réserver et servir vos plats en sauce : ce lot comprend une louche, un écumoire, une fourchette à viande, une cuillère à ragoût et une autre en sauce, le tout en laiton, toujours à portée de main sur sa tringle.
Monter une crème à la fourchette, rien de mieux pour attraper une tendinite ! Avouez qu’au fouet, c’est plus facile. Les fils de celui-ci sont non seulement recouverts de silicone (pour éviter les rayures) mais ont en plus une forme plate, pour ne pas perdre une goûte de votre préparation.
Dans quelques années, en égouttant vos pâtes ou vos choux de Bruxelles, vous regarderez votre inusable passoire (tout juste un peu cabossée) en songeant aux innombrables services qu’elle vous aura rendu.
Vous la préférez comment, votre salade : encore toute dégoulinante ou écrabouillée ? Si aucune de ces deux propositions ne vous tente, faites les frais d’une essoreuse. Plus rapide et moins fatigante, préférerez-la à bouton pressoir.
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